Prince of Persia, une franchise une peu particulière pour moi. En effet, j’avais joué au premier épisode puis au second sur PC. Et pendant que je jouais au second volet, j’ai changé de PC (un PC acheté avec les sous durement gagnés pendant les vacances), machine, ô combien moderne qui comportait une carte son. J’ai pu donc découvrir que toute l’intro du jeu que je croyais être une succession d’images toute bête était agrémentée d’une voix racontant l’histoire, le bonheur 🙂
Enfin revenons maintenant à nos moutons, c’est à dire à ce dernier volet sorti. Tout d’abord grand changement de style avec la dernière trilogie des sables du temps (très bon épisode d’ailleurs les sables 🙂 ), ce cell-shading est du plus bel effet. Ce jeu raconte l’histoire d’Elika et de son chevalier servant qui doivent purifier les terres fertiles du grand méchant Ahriman qui en est train de se libérer.
Maintenant, concernant le jeu en lui-même, petite déception : ce jeu est beaucoup trop répétitif. D’abord, direction vers une zone corrompu, suivre le chemin en sautant, grimpant,… puis boss et libération de la zone, récupération de boules de lumière pour augmenter les pouvoirs d’Elika et on recommence. Il suffit donc de passer son temps à appuyer sur le bouton saut pour avancer dans le jeu. Pas de grosses énigmes à résoudre, de mécanismes à trouver 🙁 . Par contre, j’ai lu sur plusieurs critiques le fait qu’Elika « nous rattrape » si on tente un saut trop important et que le personnage tombe dans le ravin, moi je trouve çà plutôt sympa comme pricipe au lieu de réapparaitre automatiquement comme par magie sur une plate-forme, là l’apparition est expliquée dans le jeu.
Et il y a quelques petites interactions sympas, dans le jeu Elika n’est pas contrôlée, elle passe son temps à nous suivre et quand il faut grimper, notre perso peut la prendre sur son dos, la faire passer de l’autre côté de la corniche avec quelques petites phrases pour agrémenter le tout.
En résumé, Prince of Persia est un bon jeu mais pas un très bon, la faute à la répétition des actions et pas tant de liberté dans les chemins à suivre.
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